Régime réel d’imposition :
Ce régime permet de passer en charges les frais déductibles courants (intérêts d’emprunt, primes assurances, frais de gestion / copropriété, taxe foncière, travaux d’entretien, de réparation et d’amélioration...).
De plein droit pour les locations dont les loyers nets annuels sont > à 15 000€.
* En moyenne l’ont peut facilement effacer 50% des loyers nets imposables
* Les loyers après déductions des charges sont a déclarer en case 4BA de la déclaration des revenus n. 2042
* Justificatifs des charges à conserver en cas de contrôle.
Les + : Intéressants en cas de travaux à réalisés dans le logement. Économie d’impôt si les charges du logement à supporter sont élevées.
Les - : Comptabilité et déclaration chronophage.
Régime micro-foncier :
De plein droit pour les locations dont les revenus locatifs annuel, hors charges < 15 000€. Le bailleur ne peut déduire aucune charges mais bénéficie d’un abattement forfaitaire déduit par l’administration fiscale.
* Abattement de 30%.
* Loyers brut hors charges a déclarer en case 4BE de la déclaration des revenus 2042.
* Pas de comptabilité, ni de justificatifs à fournir.
Les + : Intéressant si aucuns travaux ne sont à prévoir. Économie d’impôt si les charges du logement à supporter sont faibles. Gain de temps à la déclaration.
Les - : Manque de contrôle et de visibilité sur l’année en cours de son investissement.
A noter que le régime réel est accessible aux locations dont les loyers annuel hors charges sont inférieurs à 15 000€, sur option engageant le propriétaire pour 3 ans au minimum dans le régime avant de pouvoir revenir dans le régime micro-foncier.
En résumé, il convient donc de sortir la calculette afin de déterminer précisément quel régime est le plus favorable en fonction de sa situation.
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